Petit tour chez les infirmières [PV]
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Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Lun 21 Sep - 23:15
Carlisle était à la villa. il avait profité d'un moment de tranquiilité à l'hopital pour rentrer chez lui. en fait il avait tout simplement laissé sa place au médecin de garde pour quelques heures pendant lesquelles il irait chasser avecc sa femme, ce qu'il ne comptait pas révéler aux humains bien sur, puis travailler sur les dossiers de ses patients. rassasié, il terminait à présent de remplir ses fiches, installé dans son bureau tandis que Esmé gribouillait de très jolies façades sur ses planches à dessins consacrées aux restaurations des differentes batisses qu'elle avait en tete. le docteur devrait bientot retourner à l'hopital... il devait retourner les dossiers rapidement et comme il était censé reprendre le travail une demi heure plus tard, il en profiterait pour aller les classer.
ses collègues avaient l'air de trouver qu'il travaillait beaucoup ses derniers jours. c'était la pure vérité d'ailleurs! depuis l'arrivée de Clarissa à l'hopital, il avait passé la plupart de son temps là-bas. pour lui, cela ne le dérangeait pas le moins du monde bien sur, il n'avait pas besoin de dormir, ne ressentait aucune fatigue et aimait son travail. cependant il était vrai que les autres se demandaient comment il faisait! Carlisle se défendait en expliquant qu'il avait toujours été un petit dormeur et qu'au moins à l'hopital il servait à queque chose sans rester dans les pattes de sa famille... il ajoutait meme souvent en souriant un petit "vous savez ce que c'est les ados!". tout le monde riait alors avec lui et oubliait le reste.
le médecin ferma alors le dernier dossier de la pile, puis il se leva rapidement. il prit tout le paquet et sortit de la pièce à une incroyable vitesse. il embrassa sa femme qui était toujours dans ce que l'on pouvait appeler "leur chambre", puis se rendit auu garage ou l'attendait sa mercedes S55 noire. il devait se rendre en villle avec sa voiture et non pas en courant... histoire de passer inaperçu! bref, de retour à l'hopital, il se rendit dans la salle des infirmières et rangea les fameux dossiers. la salle était vide, mais il entendit presque aussitot des bruits de pas au fond de l'allée. d'ici quelques secondes, peut etre une minute, quelqu'un arriverait... cette jeune infirmiere apparemment, Anyssa. oui, il reconnaissait son odeur et sa façon de marcher...
ses collègues avaient l'air de trouver qu'il travaillait beaucoup ses derniers jours. c'était la pure vérité d'ailleurs! depuis l'arrivée de Clarissa à l'hopital, il avait passé la plupart de son temps là-bas. pour lui, cela ne le dérangeait pas le moins du monde bien sur, il n'avait pas besoin de dormir, ne ressentait aucune fatigue et aimait son travail. cependant il était vrai que les autres se demandaient comment il faisait! Carlisle se défendait en expliquant qu'il avait toujours été un petit dormeur et qu'au moins à l'hopital il servait à queque chose sans rester dans les pattes de sa famille... il ajoutait meme souvent en souriant un petit "vous savez ce que c'est les ados!". tout le monde riait alors avec lui et oubliait le reste.
le médecin ferma alors le dernier dossier de la pile, puis il se leva rapidement. il prit tout le paquet et sortit de la pièce à une incroyable vitesse. il embrassa sa femme qui était toujours dans ce que l'on pouvait appeler "leur chambre", puis se rendit auu garage ou l'attendait sa mercedes S55 noire. il devait se rendre en villle avec sa voiture et non pas en courant... histoire de passer inaperçu! bref, de retour à l'hopital, il se rendit dans la salle des infirmières et rangea les fameux dossiers. la salle était vide, mais il entendit presque aussitot des bruits de pas au fond de l'allée. d'ici quelques secondes, peut etre une minute, quelqu'un arriverait... cette jeune infirmiere apparemment, Anyssa. oui, il reconnaissait son odeur et sa façon de marcher...
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Lun 21 Sep - 23:55
- J'étais à l'hôpital, encore et toujours. Je n'en partais plus vraiment ses derniers temps. Pourquoi faire? Personne ne m'attendait chez moi, pas de mari, pas d'enfants... Rien, si ce n'est un lit douillé et une bibliothèque remplit d'ouvrage de médecine. Alors je n'avais pas trop envie de quitter un lieu de vie pour un lieu vide. Donc vous savez le pourquoi de ma présence aujourd'hui, dans cet hôpital alors que j'aurais dut être chez moi, plongé dans un livre ou dans mon lit devant la télé. mais regarder la télé seule n'est jamais une activité très longue. Enfin bon, elle aurait été plus gaie que ce qu'il se passait maintenant dans la salle des urgences. Il était rare de m'y voire mais j'allais y faire un tour quand une de mes collègues prenait sa journée. Mais bon, un accident de la route n'a jamais pour conséquence de simple plaie à désinfecter et à recoudre. Ou alors dans les cas les plus rares. Aujourd'hui, c'était un carambolage impliquant un camion et une petite voiture. Le passager de la petite voiture était mort sur le coup et on venait de nous apporter le conducteur dans un état grave. Ce fut d'un coup l'effervescence. Le pauvre homme était dans un état lamentable mais après cet encastré dans un camion... Il risquait pas d'être frais comme une rose sous la rosée du matin. Il le conduisit dans un box et j'essayais de m'occuper de lui comme je le pouvais. Rien n'aurait put prévoir qu'il avait une malformation des artères dut à une maladie rare et qui ferait que son artère aorte, sous l'effet conjuguer d'une plaie au coup et d'un afflue soudain de sang, allait se déchirer, m'aspergeant entièrement de sang. J'en avais partout: la blouse, le chemisier, le pantalon, le visage... J'aurais eu plus vite fait de vous citer les endroits immaculés que les endroits où il y avait du sang. Le temps que le médecin des urgences arrive, l'homme était mort d'hémorragie. Cela arrivait souvent dans d'aussi importants accidents de la route mais vous n'étiez jamais vraiment préparé à la perte d'un humain. La vision de l'homme que l'on transporte vers la morgue me ramena automatiquement à mes 15ans. Le jour où mes parents ont découverts le cadavre de ma jeune soeur sur leur palier. Je revoit encore le coroner emmener son petit corps de 10ans dans un sac mortuaire noir et le fourgon partir pour aller pratiquer une autopsie. Le lendemain, le même coroner venait nous annoncer le suicide de ma mère. Je partis en direction du bureau des infirmières pour me changer. Je marchais calmement. Beaucoup d'autres infirmières auraient été hystérique après ce qui venait d'arriver mais pas moi. J'avais côtoyé la mort dés mon plus jeune âge et j'étais donc habitué. Non, mon pas était celui de tout les jours. Les médecins que je croisai auraient put croire que j'étais normal si il ne voyait pas le sang que j'avais sur moi. J'arrivais au bureau des infirmières et ouvrit la porte. Ah, j'étais pas seule... Tiens, il était rare de croiser le docteur Cullen dans le bureau des infirmières. J'allais jusqu'à mon casier et enlevait ma blouse maculé de sang. Il faudra aussi que je songe à ramener des vêtements de rechange.
- "Docteur Cullen."
Simple et efficace. Et surtout très rare venant de moi. Je saluais toujours les gens avec des phrases longues mais pas là. J'étais trop plongé dans ma tête pour faire comme d'habitude. J'enlevais la paire de gants et la jetai sur mon bureau. Avec un essuie tout, j'essayais d'enlever le sang que j'avais sur le visage. Mais bon, sans miroir, c'était pas une chose facile.
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Mar 22 Sep - 2:18
Carlisle prit tout son temps pour classer les dossiers. oui, il savait pertinemment que la jeune infirmière serait là quelques secondes plus tard, une minute tout au plus, alors il ne servait à rien de se dépêcher. mieux valait garder profil bas, comme d'habitude! à quoi cela lui aurait-il servi de ranger les fiches à toute vitesse? la jeune femme serait arrivée juste après et il n'aurait alors pu aucune raison d'être ici... il devait se contenter d'agir en humain. et puis, de toute manière, cela n'était pas bien difficile pour lui, il avait des siècles d'expérience! il n'avait aucun problème pour se fondre parmi les humains, aucun soucis pour vivre en société... et ça, peu de vampires y parvenaient... la plupart vivaient comme des nomades, tuant simplement pour se nourrir une fois de temps en temps.
cependant, alors que la jeune humaine se trouvait derrière la porte, prête à l'ouvrir, Carlisle sentit l'odeur du sang. celle-ci s'engouffra doucement par le dessous de la porte, lui chatouillant les narines. que s'était-il passé? pourquoi Anyssa était-elle pleine de sang? car ce qu'il pouvait sentir ne représentait pas qu'une simple goutte, c'était certain! le médecin fronça les sourcils un instant, puis reprit constance. pas la peine de baisser la garde et de se faire remarquer... il avait un contrôle parfait de lui-même alors il n'y avait rien à craindre. sa famille et ceux qui le connaissaient étaient d'ailleurs admirablement surpris qu'il puisse bénéficier d'un tel contrôle. cela représentait une véritable prouesse pour les siens. mais cela faisait maintenant de nombreuses années qu'il y veillait!
en effet, il lui avait fallut deux siècles entiers avant qu'il ne parvienne à un résultat aussi important. mais il avait toujours détesté faire le mal! quand il eut comprit ce qu'il était devenu, il tenta d'en finir avec la vie de nombreuses fois, sa deuxième vie, en vain. ce ne fut que par la suite qu'il remarqua qu'il pouvait vivre sans etre le monstre qui le dégoutait en lui. et à partir de ce moment là, il put apprendre davantage sur ses capacités. il avait déjà tenu incroyablement jusque là sans attaquer personne par dégout de lui-même, alors que pourtant les nouveaux-nés étaient connus justement pour leur incapacité à contenir leurs émotions... mais lui avait réussi et grâce à ça il parvint à vivre avec les humains même si cela prit du temps. le temps, il en avait...en effet, il lui avait fallut deux siècles entiers avant qu'il ne parvienne à un résultat aussi important. mais il avait toujours détesté faire le mal! quand il eut comprit ce qu'il était devenu, il tenta d'en finir avec la vie de nombreuses fois, sa deuxième vie, en vain. ce ne fut que par la suite qu'il remarqua qu'il pouvait vivre sans être le monstre qui le dégoutait en lui. et à partir de ce moment là, il put apprendre davantage sur ses capacités. il avait déjà tenu incroyablement jusque là sans attaquer personne par dégout de lui-même, alors que pourtant les nouveaux-nés étaient connus justement pour leur incapacité à contenir leurs émotions... mais lui avait réussi et grace à ça il parvint à vivre avec les humains même si cela prit du temps. le temps, il en avait...
une seconde à peine s'était écoulée. la jeune femme entra, emportant avec elle un nuage épais de l'odeur douce et fruitée du sang, en plus du sien qui coulait dans ses veines dans un rythme léger. que ce serait-il passé si Carlisle n'avait pas eu autant de contrôle? il n'était pas bien difficile de répondre à cette question... avec un minimum de contrôle dont faisaient preuves les vampires plus ou moins âgés, il serait parvenu à prendre la fuite avant qu'il ne soit trop tard. c'est ce qu'aurait fait sa famille, Jasper mis à part. oui, lui avait beaucoup de mal à retenir ses instincts face aux humains, il n'y arrivait même quasiment pas lorsque du sang coulait! pourtant il était assez âgé et n'aimait pas se comporter comme une bête sauvage, cependant, il était très dur pour lui de faire autrement dans ces cas là... comme lorsqu'il avait failli tuer Bella avant qu'elle ne devienne un vampire, le jour de son anniversaire. elle avait eu le malheur de se couper avec du papier cadeau et Jasper était devenu fou. il s'en était voulu pour ça par la suite évidemment, mais il n'était pas parvenu à se contrôler. toute la famille avait d'ailleurs fini par sortir de la maison pendant que Carlisle soignait sa belle-fille, avant qu'une erreur ne soit commise.
mais Carlisle n'avait plus aucun soucis. il ne ressentait plus cette soif intense face à l'odeur humaine ou sanguine (ou les deux ^^). il ne sentait plus la douleur de la soif lui bruler la gorge, ou du moins, plus comme avant. à présent elle était à peine perceptible même quand le sang coulait à flot, il en était devenu presque immunisé, habitué. et tout ça parce qu'il le voulait bien! il avait fait les efforts nécessaires pour y parvenir, il avait réussi... tout ça pour pouvoir exercer sa plus grande passion, celle de sauver des vies!
ses cheveux blonds tirés en arrière dans une coiffure parfaite, la peau pale à en faire tomber la lune, Carlisle fit un sourire à la jeune femme lorsqu'elle le salua, montrant à peine ses dents blanches et parfaites elles aussi. il l'observa de ses yeux dorés un court instant puis reprit une expression du visage la plus neutre possible. il ne devait pas faire comme s'il n'était pas étonné de la voir pleine de sang. déjà parce que ce serait étrange pour elle qu'il ait pu être au courant avant même qu'elle n'ait franchi la porte, mais en plus parce que ça aurait été un mensonge. quoi que un mensonge de plus ou de moins... non! c'était une mauvaise idée, il était dans tout les cas surpris!
"Anyssa!"
il commença d'avancer vers la sortie, puis se tourna vers elle, un air soucieux sur le visage.
"un cas difficile?"
cependant, alors que la jeune humaine se trouvait derrière la porte, prête à l'ouvrir, Carlisle sentit l'odeur du sang. celle-ci s'engouffra doucement par le dessous de la porte, lui chatouillant les narines. que s'était-il passé? pourquoi Anyssa était-elle pleine de sang? car ce qu'il pouvait sentir ne représentait pas qu'une simple goutte, c'était certain! le médecin fronça les sourcils un instant, puis reprit constance. pas la peine de baisser la garde et de se faire remarquer... il avait un contrôle parfait de lui-même alors il n'y avait rien à craindre. sa famille et ceux qui le connaissaient étaient d'ailleurs admirablement surpris qu'il puisse bénéficier d'un tel contrôle. cela représentait une véritable prouesse pour les siens. mais cela faisait maintenant de nombreuses années qu'il y veillait!
en effet, il lui avait fallut deux siècles entiers avant qu'il ne parvienne à un résultat aussi important. mais il avait toujours détesté faire le mal! quand il eut comprit ce qu'il était devenu, il tenta d'en finir avec la vie de nombreuses fois, sa deuxième vie, en vain. ce ne fut que par la suite qu'il remarqua qu'il pouvait vivre sans etre le monstre qui le dégoutait en lui. et à partir de ce moment là, il put apprendre davantage sur ses capacités. il avait déjà tenu incroyablement jusque là sans attaquer personne par dégout de lui-même, alors que pourtant les nouveaux-nés étaient connus justement pour leur incapacité à contenir leurs émotions... mais lui avait réussi et grâce à ça il parvint à vivre avec les humains même si cela prit du temps. le temps, il en avait...en effet, il lui avait fallut deux siècles entiers avant qu'il ne parvienne à un résultat aussi important. mais il avait toujours détesté faire le mal! quand il eut comprit ce qu'il était devenu, il tenta d'en finir avec la vie de nombreuses fois, sa deuxième vie, en vain. ce ne fut que par la suite qu'il remarqua qu'il pouvait vivre sans être le monstre qui le dégoutait en lui. et à partir de ce moment là, il put apprendre davantage sur ses capacités. il avait déjà tenu incroyablement jusque là sans attaquer personne par dégout de lui-même, alors que pourtant les nouveaux-nés étaient connus justement pour leur incapacité à contenir leurs émotions... mais lui avait réussi et grace à ça il parvint à vivre avec les humains même si cela prit du temps. le temps, il en avait...
une seconde à peine s'était écoulée. la jeune femme entra, emportant avec elle un nuage épais de l'odeur douce et fruitée du sang, en plus du sien qui coulait dans ses veines dans un rythme léger. que ce serait-il passé si Carlisle n'avait pas eu autant de contrôle? il n'était pas bien difficile de répondre à cette question... avec un minimum de contrôle dont faisaient preuves les vampires plus ou moins âgés, il serait parvenu à prendre la fuite avant qu'il ne soit trop tard. c'est ce qu'aurait fait sa famille, Jasper mis à part. oui, lui avait beaucoup de mal à retenir ses instincts face aux humains, il n'y arrivait même quasiment pas lorsque du sang coulait! pourtant il était assez âgé et n'aimait pas se comporter comme une bête sauvage, cependant, il était très dur pour lui de faire autrement dans ces cas là... comme lorsqu'il avait failli tuer Bella avant qu'elle ne devienne un vampire, le jour de son anniversaire. elle avait eu le malheur de se couper avec du papier cadeau et Jasper était devenu fou. il s'en était voulu pour ça par la suite évidemment, mais il n'était pas parvenu à se contrôler. toute la famille avait d'ailleurs fini par sortir de la maison pendant que Carlisle soignait sa belle-fille, avant qu'une erreur ne soit commise.
mais Carlisle n'avait plus aucun soucis. il ne ressentait plus cette soif intense face à l'odeur humaine ou sanguine (ou les deux ^^). il ne sentait plus la douleur de la soif lui bruler la gorge, ou du moins, plus comme avant. à présent elle était à peine perceptible même quand le sang coulait à flot, il en était devenu presque immunisé, habitué. et tout ça parce qu'il le voulait bien! il avait fait les efforts nécessaires pour y parvenir, il avait réussi... tout ça pour pouvoir exercer sa plus grande passion, celle de sauver des vies!
ses cheveux blonds tirés en arrière dans une coiffure parfaite, la peau pale à en faire tomber la lune, Carlisle fit un sourire à la jeune femme lorsqu'elle le salua, montrant à peine ses dents blanches et parfaites elles aussi. il l'observa de ses yeux dorés un court instant puis reprit une expression du visage la plus neutre possible. il ne devait pas faire comme s'il n'était pas étonné de la voir pleine de sang. déjà parce que ce serait étrange pour elle qu'il ait pu être au courant avant même qu'elle n'ait franchi la porte, mais en plus parce que ça aurait été un mensonge. quoi que un mensonge de plus ou de moins... non! c'était une mauvaise idée, il était dans tout les cas surpris!
"Anyssa!"
il commença d'avancer vers la sortie, puis se tourna vers elle, un air soucieux sur le visage.
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Dernière édition par Carlisle Cullen le Mar 22 Sep - 11:39, édité 1 fois
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Mar 22 Sep - 2:42
- Mais pourquoi n'y avait il donc pas de miroir dans cette satanée pièce? Vous pouvez me le dire? Merci, parce que moi, je sèche. Il n'étais pas rare dans le métier que nous faisions de recevoir du sang partout et il n'avait pas eu l'idée de mettre un miroir pour qu'on puisse reprendre un visage normal et non pas rouge sanguinolent. Mais non, à croire qu'ils préféraient nous voire débarquer dans les chambres des malades avec du sang partout. Et après on s'étonne que les malades ne se sente pas en sécurité à l'hôpital. Si vous étiez à leur place et que vous voyez débarquer une infirmière pleine de sang, vous seriez comme eux, croyez moi. J'avais vraiment du sang partout et se foutu essuie tout en étalait plus qu'autre chose. J'avais bien vu que le docteur Cullen était étonné de me voire débarquer dans un tel état. D'ailleurs, qu'est ce qu'il faisait là? D'ailleurs, habillé comme il l'était, il était séduisant... Et marié. Anyssa retourne sur la planète terre. Mais il fallait avouer qu'avec ses cheveux blonds et ses yeux dorés... Anyssa, le sang sur ton visage et tout de suite. Merci conscience, j'ai pas oublié. Une fois le sang à peu près essuyer, je me mit à mon bureau et jetais les gants à la poubelle. J'avais le dossier du mort dans ma blouse et, par miracle, il n'était pas taché. Il fallait dire qu'elles étaient épaisses ses tites choses blanches quand elles voulaient. Je me relevais donc et me rendis à ma blouse, sortant le dossier, je retournais à mon bureau. Autant faire cela tout de suite, quand les souvenirs étaient encore frais dans ma tête. Je notais l'état du patient à son arrivée et la suite des évènements. Pour finir, je notais l'heure du décès du mort et signait. Une très belle écriture malgré le nom compliqué que ma famille m'avait légué. Pelageya... Nom d'origine russe. Voilà pourquoi je servais parfois de traductrice quand nous avions des malades qui ne parlaient que russe, comme je maitrisais les deux langues comme si elles étaient mes langues maternelles. Enfin, je refermais le dossier et me levait en soupirant. Le très beau docteur Cullen... Anyssa... Oui conscience, je me la boucle. Donc, le docteur Cullen était presque à la sortie quand il se tourna vers moi, un air soucieux sur le visage. Un cas difficile... M'en parlé pas...
- "Carambolage entre une voiture et un camion... le passager est mort sur le coup et le conducteur nous a été emmené dans un état grave. C'est dans ses jours là où je maudit ma collègue d'avoir pris sa journée. Enfin, le conducteur n'avait pas signalé qu'il avait une malformation artérielle qui faisait que ses artères étaient fines comme du papier et que... Un moindre et... Il a eu une dissection de l'artère Aorte... Et je me trouvais dans la trajectoire du flot de sang. Le temps que le médecin réponde à mes appels... le conducteur était mort. Si il y a bien une chose que je n'aime pas chez ce *bip* de médecin, c'est sa lenteur. Vous avez beau hurler au secours, il arrive en marchant et généralement, c'est trop tard. Non mais franchement, quand on bosse aux urgences, faut savoir réagir au quart de tour et non comme un escargot. C'est vrai quoi. Enfin, le conducteur à rejoint sa femme... A jamais réuni dans la mort... Comme... Non rien."
Anyssa, t'avais faillit rajouter "comme ma mère et ma soeur" mais ça, le docteur Cullen s'en fichait, il avait d'autres chats à fouetter. Et tu n'en faisais pas parti. Conscience... Quoi que, être fouetter par un homme comme lui... Anyssa!!! Oui, j'ai saisi. D'ailleurs, une question me revint à l'esprit.
- "Excusé ma curiosité mais... Que faites vous dans le bureau des infirmières?"
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Mar 22 Sep - 15:43
en effet, dur début de journée! Carlisle avait baissé la main, celle qui était prete à se poser sur la poignée de la porte. il avait ensuite écouté attentivement la jeune femme qui répondait à sa question en esssayant vaguement de se débarbouiller. difficile de se nettoyer le visage sans miroir, meme pour un vampire! enfin bref, elle paraissait presque au bout de la crise de nerfs, meme si elle ne souhaitait pas le montrer. le vampire pouvait le pressentir. une nouvelle fois c'était son instinct qui le lui disait, meme si son fils Jasper aurait fait bien plus, il l'aurait véritablement su grace à son pouvoir, il aurait sentit chacune de ses emotions et aurait été capable de calmer le jeu. cependant, il était parfaitement concevable qu'elle soit un peu chamboulée après un évenement de la sorte.
le docteur Cullen n'aimait pas voir les gens mourir, ou tout simplement apprendre leur mort. certes, il ne pouvait pas sauver tout le monde, il le savait bien, mais c'était ainsi. Carlisle avait toujours été quelqu'un d'aimant, plein de compassion, et malgré ce qu'il était devenu, il avait reussi à garder cela en lui! Anyssa venait de lui expliqué que l'homme arrivé aux urgences ce jour là était décédé suite à une rupture de l'aorte, elle meme fragilisée par une malformation dont personne n'avait été prévenu. elle avait alors ajouté que le médecin de garde étaiit arrivé trop tard, qu'il avait trainé, et que du coup rien n'avait pu etre tenté pour le sauver. pourquoi fallait-il qu'il ait laissé sa garde pendant ces quelques heures? poourquoi n'avait-il pas été là à ce moment précis? d'accord il n'aurait pas pu see déplacer aussi vite qu'il en avait le pouvoir mais il aurait été présent, il aurait pu tenter quelque chose!
ne serait-ce que pour sa malformation... personne n'était au courant, ce qui l'avait achevé finalement, mais luii, Carlisle aurait pu la déceler. oui, c'était certain... il l'aurait perçu rien qu'aux pulsations et au flux sanguin inhabituels. mais bon, il ne pouvait pas etre tout le temps là. il ne pouvait pas tout faire, alors il était inutile de se lamenter sur le sors de quelqu'un qui n'était plus de ce monde. le docteur soupira alors silencieusement en tentant de garder une expression de neutralité sur le visage. juste après, il se remit à sourire, un sourire éclatant et sérieux comme toujours, puis reprit la parole d'un ton amical en avançant vers elle une main en l'air.
"il vous en reste un peu ici...!"
il ne voulait pas faire de commentaires sur la fin de sa tirade. cela paraissait la déranger et Carlisle préférait donc rester silencieux à sujet. si elle voulaiit en parler elle n'avait qu'à le faire, il ne voulait en aucun cas la forcer à le faire, ce n'était pas la solution! mais Anyssa ne semblait pas décidée à en parler! elle changea bien vite de sujet, llui demandant alors ce qu'il faisait ici.
"je suis venu classer des dossiers... et comme il est encore un peu tot pour aller voir mes patients, je prends mon temps!! mais... je vais vous laissez vous changer..."
le docteur Cullen n'aimait pas voir les gens mourir, ou tout simplement apprendre leur mort. certes, il ne pouvait pas sauver tout le monde, il le savait bien, mais c'était ainsi. Carlisle avait toujours été quelqu'un d'aimant, plein de compassion, et malgré ce qu'il était devenu, il avait reussi à garder cela en lui! Anyssa venait de lui expliqué que l'homme arrivé aux urgences ce jour là était décédé suite à une rupture de l'aorte, elle meme fragilisée par une malformation dont personne n'avait été prévenu. elle avait alors ajouté que le médecin de garde étaiit arrivé trop tard, qu'il avait trainé, et que du coup rien n'avait pu etre tenté pour le sauver. pourquoi fallait-il qu'il ait laissé sa garde pendant ces quelques heures? poourquoi n'avait-il pas été là à ce moment précis? d'accord il n'aurait pas pu see déplacer aussi vite qu'il en avait le pouvoir mais il aurait été présent, il aurait pu tenter quelque chose!
ne serait-ce que pour sa malformation... personne n'était au courant, ce qui l'avait achevé finalement, mais luii, Carlisle aurait pu la déceler. oui, c'était certain... il l'aurait perçu rien qu'aux pulsations et au flux sanguin inhabituels. mais bon, il ne pouvait pas etre tout le temps là. il ne pouvait pas tout faire, alors il était inutile de se lamenter sur le sors de quelqu'un qui n'était plus de ce monde. le docteur soupira alors silencieusement en tentant de garder une expression de neutralité sur le visage. juste après, il se remit à sourire, un sourire éclatant et sérieux comme toujours, puis reprit la parole d'un ton amical en avançant vers elle une main en l'air.
"il vous en reste un peu ici...!"
il ne voulait pas faire de commentaires sur la fin de sa tirade. cela paraissait la déranger et Carlisle préférait donc rester silencieux à sujet. si elle voulaiit en parler elle n'avait qu'à le faire, il ne voulait en aucun cas la forcer à le faire, ce n'était pas la solution! mais Anyssa ne semblait pas décidée à en parler! elle changea bien vite de sujet, llui demandant alors ce qu'il faisait ici.
"je suis venu classer des dossiers... et comme il est encore un peu tot pour aller voir mes patients, je prends mon temps!! mais... je vais vous laissez vous changer..."
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Mar 22 Sep - 17:40
- Je semblais vraiment au bord de la crise de nerf? Et bien il avait l'oeil le docteur Mamour... Euh pardon, le docteur Cullen. Falais que j'arrête Grey's Anatomy moi... Mais le docteur Cullen me faisais penser à Patrick Dempsey... Le coté fidélité en plus. Une qualité rare chez un homme de nos jours. Enfin... Oui, j'étais à deux doigts de payer ma crise. Pas parce qu'un homme venait de mourir mais parce qu'un autre homme venait de mourir. Le nouveau d'une longue série. Par qui cela avait commencé? Mes parents biologiques? Possible. Expliquez moi pourquoi ils n'ont jamais essayé de ma contacter après m'avoir abandonner sous le porche d'un couvent. Avec de gentilles soeurs, mais bon, cela n'avait rien à voir. Cela avait peut être commencé par mes parents, ceux qui m'avaient abandonné. Mais la série avait officiellement commencé par ma petite soeur. Et après, ma mère. Et maintenant que j'étais devenu infirmière, les morts arrivaient par vague. On pouvait ne pas avoir de décès dans l'hôpital pendant quelques semaines et d'un coup, plusieurs d'un coup. Alors que je pensais avoir fini, le docteur Cullen me dit qu'il me restait encore du sang et me pointa l'endroit. Je passais l'essuie tout sur la zone et finis par le jeter dans la poubelle. Ainsi, il était venu déposer des dossiers. Ah oui, possible. Très probable en effet. Il était vrai qu'il se faisait tôt pour commencer sa tournée. Et si il commençait maintenant, il aurait pas grand chose à faire cet aprem. Je finis par remplir se fameux dossier et je le rangeais pas la suite dans le casier des affaires classées. Peut être classé pour l'hôpital mais pour moi... C'étais l'un des avantages à être célibataire. Quand vous vous réveillez la nuit après un cauchemar, vous n'aviez personne à rassurer. Mais vous n'aviez personne pour vous rassurer. Non décidément... Je retournais à mon bureau et... Aucun dossier, rien. J'avais besoin de m'occuper l'esprit. Mais je n'avais rien à faire dans ce bureau. Et il était trop tôt pour moi aussi d'aller voire les patients. Je posais ma tête sur le bureau et mis mes mains par dessus.
- "Vous pouvez rester si vous voulez. Après tout, je n'ai jamais amené d'affaire pour me changer et je n'ai donc rien à me mettre. Donc, pas besoin de passer par la case change. Mais va faloir que je m'occupe de cela... mais pas aujourd'hui, peut être une autre fois."
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Mar 22 Sep - 22:02
Carlisle venait de perdre sa raison de sortir de la pièce. ben oui, il comptait sortir de la salle des infirmieres pour se renddre dans son bureau et continuer son énorme livre de médecine, profitant que la jeune femme ne doive se changer. or, elle n'allait pas se changer puisqu'elle n'avait pas de vetement de rechange... donc au final pour quelle raison devait-il partir? elle le prendrait mal s'il fuyait et maintenant qu'il lui avait dit qu'il attendrait avant de faire sa tournée... il était également hors dde question qu'il lui dise "désolé Anyssa, je suis un vampire et je préfere me passer le temps à lire dans mon bureau plutot que de rester immobile face à vous, sans meme cligner des yeux!". vraiment pas question... bon, il pourrait toujours prétexter mettre un peu d'ordre dans les dossiers qui étaient déjà rangé, ceux qui était là depuis un moment. ou alors il tenterait de trouver quelque chose à lire, restant donc ici sans gener l'infirmiere.
se forçant soudainement à se comporter en humain, Carlisle se passa une main dans les cheveux, puis il bougea les yeux qui firent le tour de la piece avant de se reposer sur Anyssa. le docteur prenait soin de cligner des paupières plusieurs fois par minutes, à bouger ses yeux pour ne pas rester fixe, à s'assoire de temps en temps en croisant les jambes... bref, tout ce qui ne se faisait pas chez les vampires! il respirait aussi! ce n'était pas indispensable pour les vampires, cela ne les tuait pas de ne pas respirer, ce qui les rendait encore meilleurs en natation qu'ils ne l'étaient déjà. cependant cette fonction était une habitude, et surtout un sens. sans respirer, ils ne sentaient plus rien, c'était parfois utile quand on avait un controle modéré de soi, mais il était difficile de rester trop longtemps sans son sens le plus important, cela rendait mal à l'aise de ne pas "sentir" l'éventuel danger qui pourrait survenir.
il ne fallait pas oublier qu'ils étaient presque des "animaux" bien que certains soient tout de meme civilisés, surtout ceux du Nord. oui, les vampires du Sud, eux, étaient les plus sauvages, ne se cachant des humains que par peur des représailles du clan des Volturi. car il existait une loi principale chez ce peuple... garder le secret! et la sentence en cas de non respect de cette loi était la plus terrible qui soit. personne n'avait jamais osé défier les Volturi. personne n'était assez fou pour oser une telle chose, et puis grace à cette dynastie de vampires, les civilisés pouvaient vivre tranquille, ou presque. en tout les cas, à part les Cullen, un seul autre clan vivait de la meme façon, ceux de Denali qui étaient leurs plus proches amis. ils se considéraient d'ailleurs comme de la famille, des cousins en fait. ils avaient vécu ensemble pendant un temps... mais tous ensemble formaient un groupe trop important et cela attirait les suspicions. oui, le groupe de Tanya était composé de cinq vampires, plus les sept Cullen... c'était beaucoup!
enfin bon, le docteur découvrit un manuel sur la pédiatrie qui était posé sur un bureau. il se rendit là bas pour le prendre et s'installa en silence sur une chaise libre. il aurait bien voulu faire quelque chose pour que Anyssa ne soit pas obligée de rester tachée de sang, ce qui ne le genait pas spécialement bien que cela aurait du, comment allait-elle rentrer apres son service? toute barbouillée?! hum... non! il n'aurait qu'à aller lui chercher des affaires en disant que de toute maniere il devait repasser chez lui dans la matinée, ce qui était faux bien sur. elle n'était pas censée savoir qu'il avait un don particulier appelée "vitesse"! bref, il parcouru la premiere page de l'illustré rapidement puis leva les yeux vers elle, un sourire carrément charmeur sur le visage. le coté charmeur bien sur il n'y pouvait rien... simplement il avait toujours plut aux femmes meme avant d'etre un vampire, alors maintenant, mis à part l'intense peur qu'il pouvait provoquer par sa simple présence (peur que les gens éprouvaient contre leur gré, juste par instinct de survie) c'était encore pire!
"voulez-vous un café?"
non, il n'allait pas en boire, mais il pouvait toujours en proposer! la galanterie était l'un de ses pechers mignons et ça ne datait pas d'hier... bien entendu il avait grandit dans un monde ou la galanterie était nettement plus présente qu'aujourd'hui. dans les années 1640... oui, oui, 1640 et quelques! les gens étaient différents... mais bon, il arrivait néanmoins très bien à vivre en suivant les évolutions du temps. la preuve, la villa regorgeait d'instruments high-tech' en tout genre... les derniers cris! ecran plat, chaine hi-fi, ordinateur surpuissants, etc... ils possédaient tous un téléphone portable, des belles voitures à n'en plus finir et... bref!
"à quelle heure finissez-vous votre sevice?"
se forçant soudainement à se comporter en humain, Carlisle se passa une main dans les cheveux, puis il bougea les yeux qui firent le tour de la piece avant de se reposer sur Anyssa. le docteur prenait soin de cligner des paupières plusieurs fois par minutes, à bouger ses yeux pour ne pas rester fixe, à s'assoire de temps en temps en croisant les jambes... bref, tout ce qui ne se faisait pas chez les vampires! il respirait aussi! ce n'était pas indispensable pour les vampires, cela ne les tuait pas de ne pas respirer, ce qui les rendait encore meilleurs en natation qu'ils ne l'étaient déjà. cependant cette fonction était une habitude, et surtout un sens. sans respirer, ils ne sentaient plus rien, c'était parfois utile quand on avait un controle modéré de soi, mais il était difficile de rester trop longtemps sans son sens le plus important, cela rendait mal à l'aise de ne pas "sentir" l'éventuel danger qui pourrait survenir.
il ne fallait pas oublier qu'ils étaient presque des "animaux" bien que certains soient tout de meme civilisés, surtout ceux du Nord. oui, les vampires du Sud, eux, étaient les plus sauvages, ne se cachant des humains que par peur des représailles du clan des Volturi. car il existait une loi principale chez ce peuple... garder le secret! et la sentence en cas de non respect de cette loi était la plus terrible qui soit. personne n'avait jamais osé défier les Volturi. personne n'était assez fou pour oser une telle chose, et puis grace à cette dynastie de vampires, les civilisés pouvaient vivre tranquille, ou presque. en tout les cas, à part les Cullen, un seul autre clan vivait de la meme façon, ceux de Denali qui étaient leurs plus proches amis. ils se considéraient d'ailleurs comme de la famille, des cousins en fait. ils avaient vécu ensemble pendant un temps... mais tous ensemble formaient un groupe trop important et cela attirait les suspicions. oui, le groupe de Tanya était composé de cinq vampires, plus les sept Cullen... c'était beaucoup!
enfin bon, le docteur découvrit un manuel sur la pédiatrie qui était posé sur un bureau. il se rendit là bas pour le prendre et s'installa en silence sur une chaise libre. il aurait bien voulu faire quelque chose pour que Anyssa ne soit pas obligée de rester tachée de sang, ce qui ne le genait pas spécialement bien que cela aurait du, comment allait-elle rentrer apres son service? toute barbouillée?! hum... non! il n'aurait qu'à aller lui chercher des affaires en disant que de toute maniere il devait repasser chez lui dans la matinée, ce qui était faux bien sur. elle n'était pas censée savoir qu'il avait un don particulier appelée "vitesse"! bref, il parcouru la premiere page de l'illustré rapidement puis leva les yeux vers elle, un sourire carrément charmeur sur le visage. le coté charmeur bien sur il n'y pouvait rien... simplement il avait toujours plut aux femmes meme avant d'etre un vampire, alors maintenant, mis à part l'intense peur qu'il pouvait provoquer par sa simple présence (peur que les gens éprouvaient contre leur gré, juste par instinct de survie) c'était encore pire!
"voulez-vous un café?"
non, il n'allait pas en boire, mais il pouvait toujours en proposer! la galanterie était l'un de ses pechers mignons et ça ne datait pas d'hier... bien entendu il avait grandit dans un monde ou la galanterie était nettement plus présente qu'aujourd'hui. dans les années 1640... oui, oui, 1640 et quelques! les gens étaient différents... mais bon, il arrivait néanmoins très bien à vivre en suivant les évolutions du temps. la preuve, la villa regorgeait d'instruments high-tech' en tout genre... les derniers cris! ecran plat, chaine hi-fi, ordinateur surpuissants, etc... ils possédaient tous un téléphone portable, des belles voitures à n'en plus finir et... bref!
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Mar 22 Sep - 22:32
- Bon Anyssa, trouve toi une occupation. N'importe quoi mais... Arrêtes de gamberger, tu me donnes mal au crane. Je me donne mal au crane conscience. Oui mais elle avait raison, falais que je m'occupe. Pfff, cherche Anyssa, creuse toi le crane pour une fois... Sa t'arrive si rarement... Merci conscience de m'enfoncer encore plus. Mais de rien, je sers à quoi si je te laisse tranquille? Mouai... Bon, fiche moi la paix un peu. Mes mains toujours sur ma tête, je posais mon menton sur mon bureau. Dessiner, voilà... Une feuille et un crayon de papier. Un dessin, il fallait que je dessine... Mais dessiner quoi? Bah, l'inspiration viendrait avec les coups de crayon. Me penchant sous mon bureau, je sortit une feuille de brouillon format A4 et je pris un crayon de papier dans le pot à crayon sur mon bureau. Je me mis vite à mon dessin et, si au départ mes coups de crayons étaient violents, ils se firent plus calme et doux avec la feuille quand l'inspiration me vint. Un visage d'ange, de longs cheveux ondulés, deux yeux en amandes. J'aurais eu des crayons de couleur, la personne aurait eu des cheveux noirs corbeau et de magnifiques yeux verts émeraudes. Malgré les cheveux, vous n'auriez trouvé aucune ressemblance entrer moi et ma jeune soeur. Oui, c'était elle que je dessinais. Pourquoi je la dessinais d'ailleurs? Je n'avais pas fait son portait depuis que j'avais 15 ans et du jour au lendemain, voilà que je la dessinais de nouveau. J'aurais aimé savoir à quoi elle aurait ressemblé maintenant, alors qu'elle aurait dut avoir 17 ans. Mais son visage d'il y a 7ans revenait toujours à moi quand j'essayais de l'imaginer. Le docteur Cullen me proposa un café.
- "Euh, non merci... Je ne bois pas de café. Je préfère de loin le thé, c'est moins toxique que le café."
Idée de pur écolo? Non. Mais je préférait le thé car il n'y avait pas de lait dans ce dernier. J'avais une sainte horreur du lait. Donc, tout ce qui est fait à base de lait, je ne mange pas: pas de chocolat, de beurre, de café au lait. pas non plus de yaourts ou de fromage. Je me remis à mon dessin, essayant de rendre son regard doux et non pas mélancolique comme il était là. Comment avait elle réagit quand cet homme l'avait enlevé? C'était elle défendu? Avait elle souffert quand il l'avait tué? Toutes ses questions sans réponses étaient toujours dans ma tête, même après 7 ans. La fin de mon service? Un coup d'oeil à ma montre m'annonça que j'avais encore 5heures à faire avant de prendre ma tite Camaro de 1969 et de rentrer dans mon petit nid... Faudrait que je prenne un chat ou un chien.
- "Je finis mon service dans 5heures. Et vous?"
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Mer 23 Sep - 15:10
pas de café... du thé... c'était faisable ça aussi!! de là à dire que le thé était moins toxique que le café... c'était une autre histoire. et Carlisle n'était pas celui qui pourrait répondre à cette question. il avait beau etre calé en sciences, et en bien d'autres choses que la nuit lui avait permis d'apprendre, il pouvait tenter l'experience de lui-meme... il ne ferait d'ailleurs aucune différence s'il gouttait chacune de ces boissons. cela lui donnerait tout simplement le meme résultat que si on lui faisait avaler de la boue! autrement dit, il était mal placé pour juger d'une telle chose... néanmoins, Carlisle répondit joyeusement.
"ah? si vous le dites, je vous fais confiance! je ne suis moi meme pas friand de ce genre de choses!"
il s'arreta là. pas la peine d'en dire plus, elle n'avait pas besoin de savoir pourquoi il n'était pas friand des ces boissons là. encore une fois, il n'allait pas lui dire "oui désolé mais ma boisson préférée, et la seule que je bois d'ailleurs c'est du sang!" franchement... meme ses enfants ne penserait pas dire une phrase pareille à un etre humain! quoii que Emmett serait tenté de le faire en plaisantant. mais apres tout, ce n'étaient pas des nouveaux-nés... ils étaient tous du début des années 1900... ils n'étaient plus tout jeunes! bref, passons!
le docteur posa alors son dépliant de pédiatrie qui parlait des vaccinations en tout genre, avec tout de meme le theme principal : "faut-il faire vacciner son enfant contre la grippe A?!" étrange... meme pour un vampire médecin! quoi que... lui n'avait pas vraiment d'avis sur la question. inventer un vaccin pour sauver des gens semblait etre une bonne idée, très bonne idée meme, mais trouver un vaccin qui permettrait de fonctionner sur l'un des virus les plus virulents et mutant facilement... c'était un peu comme trouver un antidote caché au fond d'une multitude de substances chimiques! Carlisle se leva tandis que Anyssa lui répondait. elle finissait à 5h...
"oh moi je fini très tard aujourd'hui... 20h! mais j'aurai l'occasion de repasser à la maison une petite heure cette apres-midi. en plus je risque de devoir faire des heures de garde cette nuit... euh, excusez-moi un instant"
il sortit de la pièce, prétextant devoir se rendre aux toilettes, et revint une dizaine de minutes plus tard avec une tasse de thé fumante à la main. il la posa sur le bureau de l'infirmiere, tout sourire, puis reprit sa position initiale sur la chaise, l'illustré de nouveau en main. cependant il ne se remit pas tout de suite à lire. Carlisle resta à regarder Anyssa un court moment de ses yeux dorés.
"vous devez faire la meme taille que l'une de mes filles, voulez-vous que je vous ramene quelques vetements de rechange pour aujourd'hui? je ne peux pas vous laissez comme ça!"
"ah? si vous le dites, je vous fais confiance! je ne suis moi meme pas friand de ce genre de choses!"
il s'arreta là. pas la peine d'en dire plus, elle n'avait pas besoin de savoir pourquoi il n'était pas friand des ces boissons là. encore une fois, il n'allait pas lui dire "oui désolé mais ma boisson préférée, et la seule que je bois d'ailleurs c'est du sang!" franchement... meme ses enfants ne penserait pas dire une phrase pareille à un etre humain! quoii que Emmett serait tenté de le faire en plaisantant. mais apres tout, ce n'étaient pas des nouveaux-nés... ils étaient tous du début des années 1900... ils n'étaient plus tout jeunes! bref, passons!
le docteur posa alors son dépliant de pédiatrie qui parlait des vaccinations en tout genre, avec tout de meme le theme principal : "faut-il faire vacciner son enfant contre la grippe A?!" étrange... meme pour un vampire médecin! quoi que... lui n'avait pas vraiment d'avis sur la question. inventer un vaccin pour sauver des gens semblait etre une bonne idée, très bonne idée meme, mais trouver un vaccin qui permettrait de fonctionner sur l'un des virus les plus virulents et mutant facilement... c'était un peu comme trouver un antidote caché au fond d'une multitude de substances chimiques! Carlisle se leva tandis que Anyssa lui répondait. elle finissait à 5h...
"oh moi je fini très tard aujourd'hui... 20h! mais j'aurai l'occasion de repasser à la maison une petite heure cette apres-midi. en plus je risque de devoir faire des heures de garde cette nuit... euh, excusez-moi un instant"
il sortit de la pièce, prétextant devoir se rendre aux toilettes, et revint une dizaine de minutes plus tard avec une tasse de thé fumante à la main. il la posa sur le bureau de l'infirmiere, tout sourire, puis reprit sa position initiale sur la chaise, l'illustré de nouveau en main. cependant il ne se remit pas tout de suite à lire. Carlisle resta à regarder Anyssa un court moment de ses yeux dorés.
"vous devez faire la meme taille que l'une de mes filles, voulez-vous que je vous ramene quelques vetements de rechange pour aujourd'hui? je ne peux pas vous laissez comme ça!"
Dernière édition par Carlisle Cullen le Dim 4 Oct - 23:31, édité 1 fois
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Dim 4 Oct - 22:37
- Il ne buvait ni de thé ni de café? mais comment il faisait pour ne pas sombrer dans le sommeil quand il était de nuit? Même moi je carburais au thé dans ces moments là. J'étais toujours penché sur mon dessin à essayer de faire sourire ma jeune soeur. Mais pourquoi je n'arrivais pas à lui donner un vraie sourire? celui qu'elle avait là ce voyait sur ses lèvres mais ses yeux étaient toujours aussi mélancoliques et vides qu'avant. Je le vis poser son déplient. C'était sur quoi? Je ne voyais rien de là où j'étais. Ainsi, il finissait 5heures après moi? deux chiffres ronds et les même. Je finissais à 5heures et lui, 5heures après moi. Fallait le faire avouez le. Je le regardais ensuite sortir. Seule dans un bureau vide... Mais où étais donc mes collègues infirmières? Je finis par poser ma tête sur le dessin et frôlais du bout des doigts le sourire de ma jeune soeur.
- "Keyna... Qui donc t'as tué?"
Au même moment, le docteur Cullen revint avec une tasse. Je me redressais et prit la tasse qu'il avait posé sur mon bureau, non sans l'avoir remercier au préalable. Je sentis l'odeur de pêche-cassis qui s'élevait de la tasse. J'avais toujours aimé ce parfum de thé. J'en bus deux gorgées avant de reposer la tasse à mes côtés. Il me proposa ensuite de me ramener quelques vêtements. Je le regardais.
- "Oh, ne vous dérangez pas pour moi. Je vais juste changer de blouse et essayer de camoufler les traces de sang. Ne vous dérangez vraiment pas pour moi."
Mais c'était gentil de proposer. Très peu de médecin aurait eu la même gentillesse que le docteur Cullen.
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Jeu 8 Oct - 15:34
"Keyna... Qui donc t'as tué?"
Carlisle avait entendu cette phrase juste avant qu'il ne rentre de nouveau dans le bureau des infirmières. Evidemment, il n'était pas censé l'avoir entendu, et ne fit aucun commentaire. Il se contenta de déposer la tasse de thé fumant sur le bureau de la jeune femme, puis de s'assoir à la place qu'il tenait juste avant de sortir, se remettant à parler de sa voix chaleureuse.
Il voulait lui apporter des vetements propres et secs, elle en paraissait génée. Attitude normale pour une humaine digne de ce nom. Qu'aurait-il perdu, lui, à lui raamener ces affaires? Un peu de temps? A peine... dérisoire! Il n'avait qu'à dire qu'il était passé au pressing récupérer des vetements pour sa filles et que ceux-ci étaient donc dans sa voiture, puis filer en courant pour aller les chercher... à la villa! Elle ne s'en rendrait meme pas compte.
Elle le regardait, reconnaissante pour lui avoir proposer cela, sans doute, et paraissait ne pas vouloir montrer son inconfort. Inconfort vis à vis de ce dessin qu'elle tenait devant elle, posé sur le bureau. Un fort joli dessin, très réussi d'ailleurs. Un visage. Celui d'une petite fille... quelqu'un de proche à en juger par ce que le docteur avait entendu. Triste histoire... Se voulant alors compatissant, comme toujours, Carlisle reprit la parole.
"Ne vous en faites pas pour ça... ça ne me dérange absolument pas. Et puis vous serez mieux dedans que dans vos vetements tachés et mouillés! Croyez moi, en tant que médecin-chirurgien de cet hopital, je sais ce que c'est que de finir taché et trempé!"
Il voulait donner une légère touche d'humour à la conversation, lui redonner un peu le sourire. Bien entendu, il n'avait jamais été un très grand humoriste! Non, il laissait cette place à son fils, Emmett, qui n'était tout de meme pas toujours drole, donnant d'ailleurs souvent dans le "lourd"! En réalité, tandis qu'il souriait en lui parlant, il pensait à ses paroles. Qu'était-il arrivé?
Carlisle avait entendu cette phrase juste avant qu'il ne rentre de nouveau dans le bureau des infirmières. Evidemment, il n'était pas censé l'avoir entendu, et ne fit aucun commentaire. Il se contenta de déposer la tasse de thé fumant sur le bureau de la jeune femme, puis de s'assoir à la place qu'il tenait juste avant de sortir, se remettant à parler de sa voix chaleureuse.
Il voulait lui apporter des vetements propres et secs, elle en paraissait génée. Attitude normale pour une humaine digne de ce nom. Qu'aurait-il perdu, lui, à lui raamener ces affaires? Un peu de temps? A peine... dérisoire! Il n'avait qu'à dire qu'il était passé au pressing récupérer des vetements pour sa filles et que ceux-ci étaient donc dans sa voiture, puis filer en courant pour aller les chercher... à la villa! Elle ne s'en rendrait meme pas compte.
Elle le regardait, reconnaissante pour lui avoir proposer cela, sans doute, et paraissait ne pas vouloir montrer son inconfort. Inconfort vis à vis de ce dessin qu'elle tenait devant elle, posé sur le bureau. Un fort joli dessin, très réussi d'ailleurs. Un visage. Celui d'une petite fille... quelqu'un de proche à en juger par ce que le docteur avait entendu. Triste histoire... Se voulant alors compatissant, comme toujours, Carlisle reprit la parole.
"Ne vous en faites pas pour ça... ça ne me dérange absolument pas. Et puis vous serez mieux dedans que dans vos vetements tachés et mouillés! Croyez moi, en tant que médecin-chirurgien de cet hopital, je sais ce que c'est que de finir taché et trempé!"
Il voulait donner une légère touche d'humour à la conversation, lui redonner un peu le sourire. Bien entendu, il n'avait jamais été un très grand humoriste! Non, il laissait cette place à son fils, Emmett, qui n'était tout de meme pas toujours drole, donnant d'ailleurs souvent dans le "lourd"! En réalité, tandis qu'il souriait en lui parlant, il pensait à ses paroles. Qu'était-il arrivé?
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Sam 10 Oct - 2:58
- Le docteur Cullen avait il entendu la phrase que j'avais dite juste avant qu'il ne rentre? Peut être pas. Et de toute façon, même si il avait entendu, je le connaissais assez pour savoir que jamais il ne poserais la question à moins que je n'aborde le sujet moi même. Et c'était ce qui me plaisait le plus chez le docteur. N'allez pas croire que j'étais amoureuse, et puis quoi encore. Non, je trouvais juste que c'était une partie du caractère du docteur Cullen que je préférais. Il respectais le silence des autres. Je finis par ranger le dessin dans mon sac. Je savais où il allait finir. Avec tous les autres dessins que j'avais fait, dans un classeur spécial. Je finis par reposer le crayon dans le pot à crayon et croisant les mains sur mon bureau.
- "Ne vous en faites pas pour ça... ça ne me dérange absolument pas. Et puis vous serez mieux dedans que dans vos vetements tachés et mouillés! Croyez moi, en tant que médecin-chirurgien de cet hopital, je sais ce que c'est que de finir taché et trempé!"
Je voulais bien croire qu'il savait ce que cela faisait de finir souvent tâché et trempé. Nous avions tous les deux notre lot d'effusion de sang. Je repassais mes cheveux derrière mes épaules et m'étirais longuement. Me frottant les yeux, je soupirais.
- "J'accepte. mais à la condition que vous me juriez que cela ne vous dérange absolument pas."
Et oui, j'étais ainsi. Je n'aimais pas que les gens s'inquiètent pour moi. Bien que là, ce ne soit pas de l'inquiétude. Mais je n'aimais pas quand même. Je cherchais le mot pour qualifier les actes de Carlisle. De la prévenance, je crois. Oui. Je pense que je pouvais dire cela.
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Sam 10 Oct - 12:29
La douce odeur. Anyssa venait de repousser ses cheveux derrière ses épaules, laissant un fumet appétissant s'en échapper. Bien entendu, Carlisle ne souffrait plus de ce genre d'effluves. Non, pour lui c'était à présent comme un humain reniflant la bonne odeur de pain grillé ou toute autre saveur délicieusement attrayante. Cependant, ces odeurs n'étaient pas irrésistibles, un humain pouvait passer devant un de ces repas sans forcément plonger dessus. Il en était de meme du médecin à présent. Toutes ces odeurs, il en avait l'habitude. Il avait longuement travailler là dessus, pour pouvoir un jour faire ce que bon lui plaisait. Et ce qui lui plaisait c'était ça, son métier, soigner et meme sauver des gens. Il ne ressentait plus rien. Plus d'appel du sang qui coulait dans les veines de ses patients et collègues! C'était bel et bien terminé tout ça, et depuis longtemps maintenant. Il était meme facile de résister au sang frais, celui qui suintait des victimes. Il pouvait désormais le toucher, guerir sans plus éprouver aucune douleur, aucune envie si ce n'est que d'aider les humains.
Un sourire apparut de nouveau sur son visage. Oui, c'était une chance d'avoir réussi à faire ce travail sur soi, de ne plus avoir l'impression d'etre constamment sous l'emprise d'un monstre aux yeux rouges, assoiffé. Ce monstre se taisait à présent, c'était bien Carlisle qui controlait son corps et son esprit! Et son esprit ne voulait en aucun cas faire le mal.
Anyssa voulu soudain sa parole que sa proposition ne le dérangeait pas. Le médecin ne put s'en empecher. Il laissa échapper un léger rire, à moitié étouffé par sa retenue. Il croisa alors le regard de l'infirmière et se releva avec élégance avant de se rapprocher du bureau de la demoiselle. Là, il posa ses mains sur le bureau, paumes contre le bois, puis se pencha vers l'avant, les yeux fixés sur ceux de l'infirmière. Il avait toujours le sourire, rien en cet instant n'aurait pu le lui oter.
- Craignez-vous réellement que je puisse vous faire cette proposition si cela me dérangeait?
Nouveau rire. Le docteur se redressa ensuite et regarda sa montre. Il n'avait rien à faire pour l'instant, il n'en aurait pas pour longtemps. Juste un aller-retour à la villa, puisque au départ il lui avait dit que de toute manière il devait y repasser. Il prendrait alors quelques vetements passe-partout et retournerait les donner à Anyssa. Une demi-heure, tout au plus s'il prenait la Mercedes... et c'était ce qu'il allait faire. Quoi de plus normal que de rentrer chez soi en voiture plutot que de partir en courant?! Evidemment il pouvait se cacher, mais si la jeune femme voyait la voiture noire dehors sur le parking... il perdrait toute crédibilité! A moins qu'il ne l'emmene avec lui? Pourquoi pas. Il n'y aurait personne à cette heure là dans la villa. Esmé travaillait dur à la restauration de cette vieille batisse de Seattle, elle partait très tot et rentrait très tard, juste par soucis de protection. Les autres seraient au lycée...
Et puis la villa était bourrée de matériel faisant bien humain. Personne, en la voyant, ni meme en la visitant, ne pourrait penser qu'il s'agit de la demeure d'une famille de vampires. Une crypte comme l'appelaient certains mythes... du grand n'importe quoi! Mais les humains et leurs croyances... ou leur non croyance aussi, c'était parfois préférable de les voir très terre à terre, trop meme. Considérant à nouveau cette idée, Carlisle se dit qu'elle n'était pas mauvaise. Elle pourrait ainsi prendre une douche, se débarbouiller... et choisir les vetements qu'elle souhaitait mettre! Regard charmeur. Elle ne pouvait refuser.
- Il n'y a rien à faire pour le moment, je vous autorise à prendre une pause. Vous venez avec moi?
Un sourire apparut de nouveau sur son visage. Oui, c'était une chance d'avoir réussi à faire ce travail sur soi, de ne plus avoir l'impression d'etre constamment sous l'emprise d'un monstre aux yeux rouges, assoiffé. Ce monstre se taisait à présent, c'était bien Carlisle qui controlait son corps et son esprit! Et son esprit ne voulait en aucun cas faire le mal.
Anyssa voulu soudain sa parole que sa proposition ne le dérangeait pas. Le médecin ne put s'en empecher. Il laissa échapper un léger rire, à moitié étouffé par sa retenue. Il croisa alors le regard de l'infirmière et se releva avec élégance avant de se rapprocher du bureau de la demoiselle. Là, il posa ses mains sur le bureau, paumes contre le bois, puis se pencha vers l'avant, les yeux fixés sur ceux de l'infirmière. Il avait toujours le sourire, rien en cet instant n'aurait pu le lui oter.
- Craignez-vous réellement que je puisse vous faire cette proposition si cela me dérangeait?
Nouveau rire. Le docteur se redressa ensuite et regarda sa montre. Il n'avait rien à faire pour l'instant, il n'en aurait pas pour longtemps. Juste un aller-retour à la villa, puisque au départ il lui avait dit que de toute manière il devait y repasser. Il prendrait alors quelques vetements passe-partout et retournerait les donner à Anyssa. Une demi-heure, tout au plus s'il prenait la Mercedes... et c'était ce qu'il allait faire. Quoi de plus normal que de rentrer chez soi en voiture plutot que de partir en courant?! Evidemment il pouvait se cacher, mais si la jeune femme voyait la voiture noire dehors sur le parking... il perdrait toute crédibilité! A moins qu'il ne l'emmene avec lui? Pourquoi pas. Il n'y aurait personne à cette heure là dans la villa. Esmé travaillait dur à la restauration de cette vieille batisse de Seattle, elle partait très tot et rentrait très tard, juste par soucis de protection. Les autres seraient au lycée...
Et puis la villa était bourrée de matériel faisant bien humain. Personne, en la voyant, ni meme en la visitant, ne pourrait penser qu'il s'agit de la demeure d'une famille de vampires. Une crypte comme l'appelaient certains mythes... du grand n'importe quoi! Mais les humains et leurs croyances... ou leur non croyance aussi, c'était parfois préférable de les voir très terre à terre, trop meme. Considérant à nouveau cette idée, Carlisle se dit qu'elle n'était pas mauvaise. Elle pourrait ainsi prendre une douche, se débarbouiller... et choisir les vetements qu'elle souhaitait mettre! Regard charmeur. Elle ne pouvait refuser.
- Il n'y a rien à faire pour le moment, je vous autorise à prendre une pause. Vous venez avec moi?
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Sam 17 Oct - 0:18
- J'eus un haussement de sourcil. C'était la première fois que j'entendais le docteur Cullen rire. C'était... Étrange. Je ne voulais pas dire que rire était étrange, c'était une réaction humaine. Mais que le docteur Cullen rit, ça, c'était étrange. Après tout, le docteur Cullen était humain mais il était assez rare de le voire rire. Après tout, nous ne faisions pas un métier qui portait à rire. Je le vis soudain s'approcher, toujours souriant. Qu'il était beau en souriant ainsi. Enfin, il posa ses mains, longues, fines, blanches... Sublimes... Anys', calme tes hormones. Enfin, il posa ses mains sur mon bureau et se pencha vers moi. Nous étions les yeux dans les yeux. Pas très habitué à ce genre de contact, je rougis légèrement. C'est là que je me rendis compte de l'idiotie de ma phrase. Non mais il avait raison: si cela le dérangeait, pourquoi me l'aurait il proposé? J'étais un peu idiote. Je me sentis encore plus rougir sur le coup. Je baissais les yeux, honteuse de mes idioties. Non mais quelle cruche quand même. Il finit par se pencher de nouveau vers moi et je dus relever les yeux. J'aime pas parler à quelqu'un sans le regarder dans les yeux. Le suivre? Chez lui? Pourquoi pas. Je me levais et pris mon sac à main.
- "D'accord, je vous suis."
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Dim 18 Oct - 21:45
Trouvait-elle son attitude suspecte? Inhabituelle peut etre? Ou bien, se faisait-il tout simplement des idées? Sans doute, ou alors il s'agissait peut etre d'un savoureux mélange des trois! Oui, il était vrai que Carlisle riait rarement. Non pas qu'il était constament serieux, loin de là, mais plutot qu'il ne riait pas franchement en compagnie d'humains. Il se contentait alors de sourires amusés, ou de très légers rires... pas d'un rire de franche camaraderie!
Pour autant qu'il le savait, il riait de bonne grace assez souvent en réalité. Chez lui, à la villa, lorsque sa famille n'avait pas à se cacher, il était plus détendu, bien que ses années d'experience lui aient appris à rester plutot calme, meme au milieu d'humains. Et puis à la villa il y avait sa famille. Quand tout allait bien, ce qui était tout de meme souvent le cas, ses proches et lui-meme s'amusaient beaucoup. Emmett et ses phrases choc, son attitude bestiale et son coté humouristique, Rosalie et son sens de l'humour bien présent malgré qu'elle veuille le cacher souvent, Edward et son coté mystérieux, de meme que Jasper qui donnait constamment une salve de bonne humeur à tout le monde, Alice et sa joie de vivre de meme qu'un fort sens de l'humour également, Bella si gentille et timide... et puis Esmé! Son Esmé si attentionnée, si chaleureuse et aimante...
Bref, il était joyeux chez lui. Du moins lorsqu'il ne vaquait pas à ses occupations : lecture, travail... Ce jour là, à l'hopital, il s'était laissé aller sans trop savoir pourquoi, mais n'avait ressentit aucun besoin de se retenir. Apres tout, cela faisait très humain de rire franchement! Ravi de lui-meme, le médecin s'était donc redressé et avait fini par donner une pause à l'infirmière avant de lui proposer de l'emmener se changer. Elle avait accepté et s'était levée, rouge comme une pivoine, prete à le suivre. Carlisle se laissa aller cette fois à un rire silencieux en constatant à nouveau les dégats qu'il pouvait faire en compagnie des humaines, puis, en gentleman, ouvrit la porte et laissa passer Anyssa.
- Ma voiture est sur le parking, derrière...
Il se rendit de façon on ne peut plus humaine jusqu'au parking du personnel. Inutile de se faire remarquer! De toute manière Carlisle avait l'habitude de se comporter comme tel lorsqu'il était en ville, et avec sa grande experience du monde humain, il n'avait pas de grande difficulté. Il était aussi bien plus patient que le reste de sa famille, Esmé mis à part peut etre, et cela aidait beaucoup également!
Enfin, il alla ouvrir la portière de sa Mercedes noire, du coté passager, avant de faire un signe de la main à la jeune femme, tout sourire.
- Je vous en prie.
Carlisle mit le moteur en route, et se concentra sur la route. Il restait néanmoins attentif à la jeune femme. Oui, il arrivait à faire les deux choses à la fois. Elle était toujours pleine de sang et il était heureux que personne ne soit présent à la villa à cette heure là. Mais elle passerait en tout les cas inaperçue dans la Mercedes aux vitres teintées. C'était bien pratique également contre le soleil...
Ils arrivèrent rapidement à la maison. Celle-ci, grande et lumineuse semblait rayonner au milieu des bois. Carlisle remonta le petit chemin puis arreta la voiture devant lee garage. Pas la peine de la rentrer pour la ressortir dans la demi-heure qui allait suivre! Et puis il fallait avouer que le docteur n'aimait pas trop montrer tout ce qu'ils possédaient. Notamment, dans le garage! Bien entendu la Volvo d'Edward serait au lycée, mais il restait encore la Jeep d'Emmett, la M3 de Rosalie, l'autre voiture de son "ainé" la Vanquish, la moto de Jasper et la merveilleuse Porsche jaune petante d'Alice, sans oublier the voiture, la Ferrari de Bella!
A nouveau il aida galamment Anyssa, faisant le tour de la voiture à vitesse modérée, puis se tourna vers la maison, le sourire aux lèvres.
- Nous y voilà...
Pour autant qu'il le savait, il riait de bonne grace assez souvent en réalité. Chez lui, à la villa, lorsque sa famille n'avait pas à se cacher, il était plus détendu, bien que ses années d'experience lui aient appris à rester plutot calme, meme au milieu d'humains. Et puis à la villa il y avait sa famille. Quand tout allait bien, ce qui était tout de meme souvent le cas, ses proches et lui-meme s'amusaient beaucoup. Emmett et ses phrases choc, son attitude bestiale et son coté humouristique, Rosalie et son sens de l'humour bien présent malgré qu'elle veuille le cacher souvent, Edward et son coté mystérieux, de meme que Jasper qui donnait constamment une salve de bonne humeur à tout le monde, Alice et sa joie de vivre de meme qu'un fort sens de l'humour également, Bella si gentille et timide... et puis Esmé! Son Esmé si attentionnée, si chaleureuse et aimante...
Bref, il était joyeux chez lui. Du moins lorsqu'il ne vaquait pas à ses occupations : lecture, travail... Ce jour là, à l'hopital, il s'était laissé aller sans trop savoir pourquoi, mais n'avait ressentit aucun besoin de se retenir. Apres tout, cela faisait très humain de rire franchement! Ravi de lui-meme, le médecin s'était donc redressé et avait fini par donner une pause à l'infirmière avant de lui proposer de l'emmener se changer. Elle avait accepté et s'était levée, rouge comme une pivoine, prete à le suivre. Carlisle se laissa aller cette fois à un rire silencieux en constatant à nouveau les dégats qu'il pouvait faire en compagnie des humaines, puis, en gentleman, ouvrit la porte et laissa passer Anyssa.
- Ma voiture est sur le parking, derrière...
Il se rendit de façon on ne peut plus humaine jusqu'au parking du personnel. Inutile de se faire remarquer! De toute manière Carlisle avait l'habitude de se comporter comme tel lorsqu'il était en ville, et avec sa grande experience du monde humain, il n'avait pas de grande difficulté. Il était aussi bien plus patient que le reste de sa famille, Esmé mis à part peut etre, et cela aidait beaucoup également!
Enfin, il alla ouvrir la portière de sa Mercedes noire, du coté passager, avant de faire un signe de la main à la jeune femme, tout sourire.
- Je vous en prie.
Carlisle mit le moteur en route, et se concentra sur la route. Il restait néanmoins attentif à la jeune femme. Oui, il arrivait à faire les deux choses à la fois. Elle était toujours pleine de sang et il était heureux que personne ne soit présent à la villa à cette heure là. Mais elle passerait en tout les cas inaperçue dans la Mercedes aux vitres teintées. C'était bien pratique également contre le soleil...
Ils arrivèrent rapidement à la maison. Celle-ci, grande et lumineuse semblait rayonner au milieu des bois. Carlisle remonta le petit chemin puis arreta la voiture devant lee garage. Pas la peine de la rentrer pour la ressortir dans la demi-heure qui allait suivre! Et puis il fallait avouer que le docteur n'aimait pas trop montrer tout ce qu'ils possédaient. Notamment, dans le garage! Bien entendu la Volvo d'Edward serait au lycée, mais il restait encore la Jeep d'Emmett, la M3 de Rosalie, l'autre voiture de son "ainé" la Vanquish, la moto de Jasper et la merveilleuse Porsche jaune petante d'Alice, sans oublier the voiture, la Ferrari de Bella!
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Lun 19 Oct - 17:17
- Je n'étais pas encore remise du rire certes discret du docteur Cullen mais du rire quand même. C'était suspect et inhabituelle. J'avais encore je n'avais vu le docteur rire ou sourire. Il me laissa passer devant pour sortir du bureau des infirmières. Gentleman, en plus d'être mignon. Il avait décidément beaucoup de chose pour lui et son épouse devait être contente d'avoir trouver un homme comme lui. J'espérais bien en trouver un comme le docteur Cullen. Enfin pas totalement comme le docteur Cullen car je doutais qu'il ait un frère jumeau mais un homme avec certaines de ses qualités mais avec un plus grand sens de l'humour. Je suivis donc le docteur Cullen jusqu'à sa voiture. Une sublime Mercedes noire garé à deux places de ma splendide Camaro. J'avais toujours aimé les Mercedes mais niveau vitesse, elle ne valait pas ma Camaro. Enfin, nous n'étions pas ici pour parler voiture. Je montais à la place que le docteur Cullen m'avait désigné par une portière ouverte.
- "Merci."
J'attachais ma ceinture et me détendit. C'est pas comme si il était un meurtrier psychopathe ou un tueur en série sur la liste du FBI. Mais je n'étais vraiment à l'aise avec les personnes qui m'entouraient. Pourquoi? Parce que je me disais que l'une d'entre elles pouvait très bien être le meurtrier de ma soeur. Je sais, j'en parle énormément mais mettez vous à ma place: votre petite soeur à connu le même sort que la mienne a seulement 10 ans et son meurtrier est toujours en liberté. Vous feriez quoi? Je pense que vous y penseriez autant que moi. Nous arrivâmes bientôt en vue de la villa, dans une petite clairière entourée d'arbres. Elle était vraiment superbe. Je ne sais pas pourquoi mais je m'attendais à une maison du genre: chaleureuse mais grande. Je sortis quand le docteur Cullen m'eus ouvert la porte, le remerciant d'un sourire. C'était une superbe maison. Je ne savais pas quoi en dire.
- "C'est... Ouah. Belle maison, docteur."
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Lun 19 Oct - 18:25
Surprise. Etonnement. Telles étaient visiblement les émotions qu'affichaient le visage de la jeune femme aux yeux de carlisle. Elle semblait ne pas croire à ce qu'elle voyait. A vrai dire, il fallait bien avouer qu'il n'était pas donné à tout le monde d'avoir une maison comme celle-ci. Elle était grande, plus que ça, immense, comportait un garage gigantesque, possédait de nombreuses grandes baies vitrées éclaircissant l'intérieur... mais surtout, elle était au beau milieu des bois! Elle pouvait impressionner, oui!
Entendant alors le commentaire haché de l'infirmière sous le choc, le médecin fit un grand sourire. Bien que prévisible, sa réaction était amusante. Cependant, une nouvelle fois Carlisle se rappela de ne pas la faire entrer dans le garage... elle prendrait peur! Il avança donc lentement vers la maison, enfin lentement pour lui, et ouvrit la porte. Se reculant, il fit signe à Anyssa d'entrer et referma derrière eux.
Personne. Comme prévu, Esmé travaillait à sa restauration de maison, les "enfants" étaient en cours au lycée de Forks. Joyeux d'etre chez lui, Carlisle se tourna à nouveau vers son invitée. il comptait lui montrer où elle pouvait se changer, lui donner d'ailleurs des vetements, et la laisser se débarbouiller. Il lui proposerait peut etre quelque chose à boire ou à manger ensuite si elle le désirait ; la maison des vampires regorgeait de toute sorte de boissons et nourritures, ainsi que de tout le matériel humain nécessaire à cacher leur vraie nature. De meme qu'ils allaient souvent acheter du matériel de randonnée au magasin des Newton, puisqu'ils étaient censés etre friands de ce genre de loisir. Evidemment ce matériel ne servait à rien, mais au moins ils montraient un visage humain aux yeux de la population!
- Suivez-moi, je vais vous montrer les vetements et la salle de bain... Faites comme chez vous!
Il s'executa alors, emmenant Anyssa au premier étage où il lui ouvrit la porte du dressing d'Esmé, elle devait faire à peu près la meme taille. Trois tonnes d'affaires en tout genre apparurent alors et Carlisle fit un sourire à la jeune humaine. Elle n'aurait qu'à choisir. Ensuite, il lui indiqua la salle de bain et redescendit au salon dans lequel il retrouva le livre qu'il y avait laissé la veille, un livre sur l'acupuncture. Il se mit donc à lire, assis dans un fauteuil.
Entendant alors le commentaire haché de l'infirmière sous le choc, le médecin fit un grand sourire. Bien que prévisible, sa réaction était amusante. Cependant, une nouvelle fois Carlisle se rappela de ne pas la faire entrer dans le garage... elle prendrait peur! Il avança donc lentement vers la maison, enfin lentement pour lui, et ouvrit la porte. Se reculant, il fit signe à Anyssa d'entrer et referma derrière eux.
Personne. Comme prévu, Esmé travaillait à sa restauration de maison, les "enfants" étaient en cours au lycée de Forks. Joyeux d'etre chez lui, Carlisle se tourna à nouveau vers son invitée. il comptait lui montrer où elle pouvait se changer, lui donner d'ailleurs des vetements, et la laisser se débarbouiller. Il lui proposerait peut etre quelque chose à boire ou à manger ensuite si elle le désirait ; la maison des vampires regorgeait de toute sorte de boissons et nourritures, ainsi que de tout le matériel humain nécessaire à cacher leur vraie nature. De meme qu'ils allaient souvent acheter du matériel de randonnée au magasin des Newton, puisqu'ils étaient censés etre friands de ce genre de loisir. Evidemment ce matériel ne servait à rien, mais au moins ils montraient un visage humain aux yeux de la population!
- Suivez-moi, je vais vous montrer les vetements et la salle de bain... Faites comme chez vous!
Il s'executa alors, emmenant Anyssa au premier étage où il lui ouvrit la porte du dressing d'Esmé, elle devait faire à peu près la meme taille. Trois tonnes d'affaires en tout genre apparurent alors et Carlisle fit un sourire à la jeune humaine. Elle n'aurait qu'à choisir. Ensuite, il lui indiqua la salle de bain et redescendit au salon dans lequel il retrouva le livre qu'il y avait laissé la veille, un livre sur l'acupuncture. Il se mit donc à lire, assis dans un fauteuil.
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Lun 19 Oct - 23:10
- J'observais toujours la maison, elle était vraiment superbe. Et elle aurait eu sa place dans les plus grandes villes: Chicago, San Francisco, Los Angeles... Mais pas dans une petite ville telle que Forks et encore moins dans la forêt de Forks. Il finit par se mettre en marche, en direction de la porte d'entrée, qu'il me tint galamment. Non, décidément, que des qualités cet homme là. Avait il ne serais ce qu'un défaut? Oui, un, mineur: il ne riait pas assez. Mais bon, cela mit à part, avait il d'autres défaut? Rien de bien visible tout de même. L'intérieur était encore plus beau que l'extérieur. C'était vraiment très chaleureux et très sobre. Rien de très... expansif. Tout restait dans le sobre. Non, décidément, c'était une superbe maison. Mais mise à part le docteur et moi, personne ne semblait être présent. Je finis par le suivre à l'étage. Il finit par me montrer un dressing: sûrement celui de sa femme car tous les autres habitants de la maison étaient au lycée et donc trop jeune pour avoir des vêtements pour une adulte. Mais... Il y en avait plus que ce que je n'aurais imaginé. L'expression "avoir l'embarras du choix" était d'actualité dans le cas présent. Il finit par m'indiquer la salle de bain et me laissa vaquer à mes occupations. Je pris donc le chemin de la salle de bain et enlevais mes vêtements, les posant en un tas bien plié sur une chaise qui se trouvait là. Je pus enfin prendre une bonne douche. L'eau chaude enlevait le sang qui commençait à sécher sur mon visage et même celui qui se trouvait sur ma poitrine et qui avait transpercé mes vêtements. Une fois propre et sèche, je pus remettre mes sous vêtements qui miraculeusement n'avaient rien. Une fois revêtu de cela, je pus me rendre dans le dressing de la femme du docteur Cullen. Même si je savais que cela ne la dérangerait pas, le docteur Cullen m'aillant assuré que cela ne le dérangeait pas, j'avais quand même une petit gêne à prendre les vêtements d'une autre personne. Mon choix se porta finalement sur un jean bleu et un chemisier parme. Bizarrement, Mme Cullen et moi faisions la même taille. Je finis par redescendre dans le salon.
- "Merci docteur Cullen. J'espère que cela ne gênera pas votre femme."
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Mar 20 Oct - 0:01
Plongé dans sa lecture, Carlisle entendit distinctement tout ce qui se passait à l'étage. Il n'écoutait pas vraiment, préférant laisser le plus d'intimité possible à son invitée, mais il ne pouvait pas ne pas entendre. Il entendit ainsi la porte de la salle de bain qui se fermait, les vetements qui tombaient souplement sur ce qui semblait etre la chaise entreposée dans l'immense salle de bain, puis l'eau. Par la suite la porte s'ouvrit de nouveau et il Put compter les pas qui la menèrent jusqu'au dressing d'Esmé.
Elle redescendit peu après, habillée d'un jean bleu et d'un chemier parme. Carlisle avait alors fait semblant de ne la remarquer qu'une fois qu'elle l'eut rejoint dans le salon. Alors, seulement à ce moment il avait levé les yeux vers elle. Bien sur, il avait capté chacun de ses pas depuis l'étage. Son odeur avait envahit la pièce avant meme qu'elle ne soit en bas, et le son de ses chaussures sur les marches de l'escalier en bois avait résonné dans ses oreilles comme s'il avait été auprès d'elle à ce moment précis. Il lui parut étrange de voir la jeune femme portant les habits de son épouse, et cela le fit sourire.
- Ces vetements vous vont à merveille!
Le médecin referma son livre avec délicatesse et le posa sur la table basse. Par la suite, il se releva de manière très humaine et jeta un coup d'oeil à Anyssa qui semblait plus que genée de porter les affaires d'une autre, qui plus est sans l'accord de cette autre personne. En effet, l'infirmière reprit la parole d'une voix plutot faible, montant un peu dans les aigues aux oreilles de Carlisle, signe de gene. Elle le remercia en lui demandant à nouveau si cela ne dérangeait pas...
Carlisle ne put retenir son amusement. Il éclata de rire. Un rire encore plus franc qu'à l'hopital, un rire décontracté mais sans aucune once de moquerie. Cela n'était pas du tout son intention. Le docteur n'était pas du genre à se moquer des autres, loin de là. Mais son attitude était tellement... humaine! En tout les cas, elle avait bien meilleure mine à présent. Elle était débarbouillée et paraissait elle meme bien détendue. Mais après tout, elle ne pouvait pas savoir qu'elle venait de prendre une douche dans la maison d'une famille de vampires!
- Ne vous inquiétez pas pour ça! Elle en a des tonnes et elle adore renddre service! Elle m'en aurait voulu pendant un moment si je vous avais laissé dans votre état!
Carlisle eut un nouveau sourire à cette pensée mais ce dernier s'effaça rapidement. Cependant, il garda constance pour ne pas se faire remarquer puis repensa à ses précédentes idées. Il avait accueillit une humaine ici, il fallai jouer un hote correct! C'est ainsi qu'il proposa à Anyssa de s'installer. Ils pouvaient rester encore un peu avant de retourner à l'hopital, il y avait du monde de garde ce jour là, trop pour un nombre de patients peu élevé... Ce fut donc de sa voix la plus chaleureuse qu'il s'exprima.
- Je vous en prie, insallez vous où vous voulez... Souhaitez-vous boire ou manger quelque chose?
Elle redescendit peu après, habillée d'un jean bleu et d'un chemier parme. Carlisle avait alors fait semblant de ne la remarquer qu'une fois qu'elle l'eut rejoint dans le salon. Alors, seulement à ce moment il avait levé les yeux vers elle. Bien sur, il avait capté chacun de ses pas depuis l'étage. Son odeur avait envahit la pièce avant meme qu'elle ne soit en bas, et le son de ses chaussures sur les marches de l'escalier en bois avait résonné dans ses oreilles comme s'il avait été auprès d'elle à ce moment précis. Il lui parut étrange de voir la jeune femme portant les habits de son épouse, et cela le fit sourire.
- Ces vetements vous vont à merveille!
Le médecin referma son livre avec délicatesse et le posa sur la table basse. Par la suite, il se releva de manière très humaine et jeta un coup d'oeil à Anyssa qui semblait plus que genée de porter les affaires d'une autre, qui plus est sans l'accord de cette autre personne. En effet, l'infirmière reprit la parole d'une voix plutot faible, montant un peu dans les aigues aux oreilles de Carlisle, signe de gene. Elle le remercia en lui demandant à nouveau si cela ne dérangeait pas...
Carlisle ne put retenir son amusement. Il éclata de rire. Un rire encore plus franc qu'à l'hopital, un rire décontracté mais sans aucune once de moquerie. Cela n'était pas du tout son intention. Le docteur n'était pas du genre à se moquer des autres, loin de là. Mais son attitude était tellement... humaine! En tout les cas, elle avait bien meilleure mine à présent. Elle était débarbouillée et paraissait elle meme bien détendue. Mais après tout, elle ne pouvait pas savoir qu'elle venait de prendre une douche dans la maison d'une famille de vampires!
- Ne vous inquiétez pas pour ça! Elle en a des tonnes et elle adore renddre service! Elle m'en aurait voulu pendant un moment si je vous avais laissé dans votre état!
Carlisle eut un nouveau sourire à cette pensée mais ce dernier s'effaça rapidement. Cependant, il garda constance pour ne pas se faire remarquer puis repensa à ses précédentes idées. Il avait accueillit une humaine ici, il fallai jouer un hote correct! C'est ainsi qu'il proposa à Anyssa de s'installer. Ils pouvaient rester encore un peu avant de retourner à l'hopital, il y avait du monde de garde ce jour là, trop pour un nombre de patients peu élevé... Ce fut donc de sa voix la plus chaleureuse qu'il s'exprima.
- Je vous en prie, insallez vous où vous voulez... Souhaitez-vous boire ou manger quelque chose?
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Mar 20 Oct - 22:17
- J'observais toujours le docteur Cullen, assis sur un fauteuil, plongé dans la lecture de son livre. L'acuponcture d'après ce que je pouvais lire. Une technique de médecine asiatique, surtout utilisé par les chinois. Je souris à son compliment, c'était gentil de sa part de me dire cela. Et là, je fus encore plus étonné. Il éclata littéralement de rire. Rien à voire avec ses petits rires discrets qu'il m'avait donné à l'hôpital. Non un vraie rire, un de ceux que vous faites quand une personne a dit quelque chose de vraiment hilarant et que vous pouvez pas vous retenir. Qu'est ce que j'avais dit qui était si marrant? Pas la moindre idée mais le docteur semblait trouver cela amusant. Ainsi, sa femme était aussi gentille que cela? Je ne pouvais pas en douter. Il finit par me proposer de m'installer. Et bien tant qu'à faire... Après tout, nous n'avions que peux de patients à aller voire et il y avait pas mal d'infirmières ou de médecins de garde pour qu'on puisse rester là encore un peu de temps. Je pris donc place dans un autre fauteuil, pas loin de celui où se trouvait le docteur.
- "Je veux bien un verre d'eau s'il vous plait."
Oui de l'eau. Rien de tel pour réhydrater une gorge qui n'en avait certes pas besoin mais pour enlever une soif bien présente, il n'y avait rien de mieu. Et puis, c'était bon pour le nettoyage des reins. Tous ses jeunes qui se bourraient de coca et de fanta sans boire une goutte d'eau... Pas étonnant qu'ils viennent à l'hôpital avec des problèmes rénaux...
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Mer 21 Oct - 15:55
Anyssa écouta le docteur et s'installa sur un fauteuil proche de celui qu'il venait de quitter, non loin du sofa couleur écru. Elle ne souhaitait qu'un verre d'eau? Pourtant les humains aimaient les boissons chaudes à cette période de l'année, surtout par un temps grisatre comme il y avait presque tout les jours à Forks. Mais peut etre que le médecin se trompait... Il avait appris à observer les habitudes humaines afin de mieux les comprendre et de mieux réagir vis à vis d'eux, mais apparemment Anyssa ne répondait pas aux critères. Mais après tout, Bella sortait elle aussi du moule du temps de son humanité.
- Vous craignez les problèmes rénaux?!
Le médecin eut un sourire. Vieux tic de docteur... La phrase était venu automatiquement dans son esprit et il l'avait volontairement laissé sortir. Etant infirmière, elle y avait surement pensé elle aussi... bref, peut etre valait-il mieux ne pas rentrer dans une conversation aussi proche de leur travail, elle devait profiter de ne pas etre à l'hopital pour penser à autre chose! il fonça alors à la cuisine en silence et revint avec un grand verre d'eau.
- Tenez. Vous etes sure que vous ne voulez rien manger??
Son manque d'appétit n'était pas très genant bien que les humains soient obligés de se nourrire beaucoup plus souvent que les vampires, mais peut etre refusait-elle simplement par gene? Si c'était le cas, Carlisle ne serait alors pas un très bon hote... enfin c'était comme ça qu'il le ressentirait, puisque si elle craignait trop de déranger au point de ne pas accepter à manger alors qu'elle avait faim...
Enfin, bon. Une chose était sure, c'était que Esmé, elle, ne l'aurait jamais laissé repartir d'ici sans avoir mangé quelque chose! C'était peut etre une chance qu'elle ne soit pas là si Anyssa n'avait réellement pas faim!! Encore une personne qu'elle apprécierait, pensa soudain le docteur. Il connaissait trop bien sa femme pour savoir qu'elle ne serait pas insensible à la politesse et la gene de l'infirmière, tout comme sa patiente, Clarissa. Et puis Carlisle allait devoir faire tout de meme attention, car la jeune femme, Clary, était au courant... Il allait devoir l'inviter dans la villa à sa sortie d'hopital pour clarifier certaines choses...
- Vous craignez les problèmes rénaux?!
Le médecin eut un sourire. Vieux tic de docteur... La phrase était venu automatiquement dans son esprit et il l'avait volontairement laissé sortir. Etant infirmière, elle y avait surement pensé elle aussi... bref, peut etre valait-il mieux ne pas rentrer dans une conversation aussi proche de leur travail, elle devait profiter de ne pas etre à l'hopital pour penser à autre chose! il fonça alors à la cuisine en silence et revint avec un grand verre d'eau.
- Tenez. Vous etes sure que vous ne voulez rien manger??
Son manque d'appétit n'était pas très genant bien que les humains soient obligés de se nourrire beaucoup plus souvent que les vampires, mais peut etre refusait-elle simplement par gene? Si c'était le cas, Carlisle ne serait alors pas un très bon hote... enfin c'était comme ça qu'il le ressentirait, puisque si elle craignait trop de déranger au point de ne pas accepter à manger alors qu'elle avait faim...
Enfin, bon. Une chose était sure, c'était que Esmé, elle, ne l'aurait jamais laissé repartir d'ici sans avoir mangé quelque chose! C'était peut etre une chance qu'elle ne soit pas là si Anyssa n'avait réellement pas faim!! Encore une personne qu'elle apprécierait, pensa soudain le docteur. Il connaissait trop bien sa femme pour savoir qu'elle ne serait pas insensible à la politesse et la gene de l'infirmière, tout comme sa patiente, Clarissa. Et puis Carlisle allait devoir faire tout de meme attention, car la jeune femme, Clary, était au courant... Il allait devoir l'inviter dans la villa à sa sortie d'hopital pour clarifier certaines choses...
Carlisle Cullen- Le charmeur sage
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Anyssa O. Pelageya Mer 4 Nov - 23:26
- Si je craignais les problèmes rénaux? Le docteur et moi avions eu la même idée sur la signification du verre d'eau. J'eus un sourire. Non je ne les craignais pas du tout mais fallait mieux prévenir que guérir. J'attendis en silence en regardant autour de moi cette magnifique maison entourée d'arbres. Quel mystère pouvait elle bien renfermer? Tout le monde cachait des secrets dans une maison et les Cullen ne devaient pas faire exception à la règle. Ou alors ils n'étaient pas humain, se dont je doutais fort. Lorsqu'il m'apporta mon verre d'eau, je le remerciais et but une gorgée. Puis je sourit.
- "Non mais, je n'ais pas fin. Mais pour répondre à votre question sur les problèmes rénaux, ma mère disait toujours qu'il valait mieux prévenir que guérir. Je suis ce qu'elle me disait au pieds de la lettre. Elle aimait dicter la conduite à avoir aux gens et tout le monde l'en remerciait car ils vivaient mieux après: moins de problème de santé et plus de joie de vivre. Elle me manque."
Ma mère et ma soeur me manquait. Nous n'avions peut être aucun lien de sang mais les liens du coeur qui nous unissé étaient tellement fort que le temps et la mort ne pouvaient les détruire. Aujourd'hui encore, il m'arrivait de la voire dans chacun des mouvements que je faisais car c'était elle qui m'avait appris comment les faire: reprendre une chaussette trouée, faire un pansement et pleins d'autres choses. Avisant une photo, je l'observais de mon siège. Le docteur Cullen y posait accompagnée d'une femme et d'adolescents. Cela devait être sa famille.
- "C'est votre femme et vos enfants sur cette photo, avec vous?"
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Re: Petit tour chez les infirmières [PV]
par Carlisle Cullen Lun 9 Nov - 21:14
Anyssa avait sourit. Evidemment elle avait très bien compris sa remarque et visiblement elle avait pensé la meme chose d'ailleurs. Pour le coup, le sourire du docteur s'étira encore plus meme s'il était resté silencieux jusqu'à ce qu'il emmène le verre d'eau à sa collègue qui le remercia avec le sourire avant d'en boire une gorgée. Là, il lui demanda si elle voulait manger quelque chose et elle refusa gentiment, lui expliquant qu'elle n'avait pas faim. Bien. Au moins, Carlisle n'aurait pas à se sentir mauvais hote... enfin si elle était sincère. Ce devait etre le cas, ou alors elle était vraiment très genée.
Pour "changer" de sujet, plus ou moins disons, la jeune femme répondit quand meme à la remarque du docteur. C'est ainsi qu'il en apprit un peu plus encore sur elle-meme. En effet, celle-ci lui expliqua que sa mère lui disait toujours qu'il valait mieux prévenir que guerir. Un vieille réplique... Oui, Carlisle la connaissait depuis longtemps celle-là, elle n'était nouvelle. Ainsi ellle aimait suivre ses conseils au pied de la lettre, elles étaient sans doute très proches! D'après ce qu'avait compris le médecin, Anyssa n'avait plus de famille... Pauvre enfant... Bien entendu elle n'était plus une enfant dans le monde des humains, mais elle était jeune encore, très jeune, surtout pour un vampire tel que Carlisle.
Elle termina son récit par le fait que sa mère lui manquait. C'était bien cela, elles devaient etre très proches, le vampire blond n'en doutait plus à présent. Tout le long, Carlisle était resté silencieux, écoutant avec une grande attention ce que lui disait sa collègue. Il était important de savoir écouter les gens! Bref, il se contenta de l'observer calmement, laissant peut etre apparaitre sa compassion. Cela avait toujours été une des plus grandes qualités du docteur, la compassion qu'il pouvait éprouver et sa gentillesse. Ou bien son plus gros défaut en tant que vampire... Oui, sa gentillesse était telle qu'il ne supportait pas de mettre fin à la "vie" de quelqu'un meme d'un vampire sadique! Cependant parfois c'était nécessaire.
Le regard de la jeune infirmière se posa alors sur une photographie posée au milieu de la table basse. Celle-ci représentait les Cullen. Elle avait été prise récemment, pour marquer l'arrivée de Bella dans la famille. Enfin, quand Carlisle pensait récemment... pour le coup il devait avouer qu'elle avait déjà quelques années! Mais évidemment, personne n'avait changé depuis qu'elle avait été prise, meme Renesmée avait cessée de changer depuis un moment. Anyssa fini par lui poser la question, à savoir si c'était bien sa femme et ses enfants. On pouvait voir ça comme ça... puisque finalement, il les considérait vraiment comme ses propres enfants. Carlisle prit alors le petit cadre entre ses mains et répondit en souriant, montrant les personnes du doigt.
- Oui. Voilà ma femme, Esmé, et mes enfants, enfin c'est tout comme! Edward et Bella, Renesmée, Alice et Jasper, Rosalie et Emmett!
Pour "changer" de sujet, plus ou moins disons, la jeune femme répondit quand meme à la remarque du docteur. C'est ainsi qu'il en apprit un peu plus encore sur elle-meme. En effet, celle-ci lui expliqua que sa mère lui disait toujours qu'il valait mieux prévenir que guerir. Un vieille réplique... Oui, Carlisle la connaissait depuis longtemps celle-là, elle n'était nouvelle. Ainsi ellle aimait suivre ses conseils au pied de la lettre, elles étaient sans doute très proches! D'après ce qu'avait compris le médecin, Anyssa n'avait plus de famille... Pauvre enfant... Bien entendu elle n'était plus une enfant dans le monde des humains, mais elle était jeune encore, très jeune, surtout pour un vampire tel que Carlisle.
Elle termina son récit par le fait que sa mère lui manquait. C'était bien cela, elles devaient etre très proches, le vampire blond n'en doutait plus à présent. Tout le long, Carlisle était resté silencieux, écoutant avec une grande attention ce que lui disait sa collègue. Il était important de savoir écouter les gens! Bref, il se contenta de l'observer calmement, laissant peut etre apparaitre sa compassion. Cela avait toujours été une des plus grandes qualités du docteur, la compassion qu'il pouvait éprouver et sa gentillesse. Ou bien son plus gros défaut en tant que vampire... Oui, sa gentillesse était telle qu'il ne supportait pas de mettre fin à la "vie" de quelqu'un meme d'un vampire sadique! Cependant parfois c'était nécessaire.
Le regard de la jeune infirmière se posa alors sur une photographie posée au milieu de la table basse. Celle-ci représentait les Cullen. Elle avait été prise récemment, pour marquer l'arrivée de Bella dans la famille. Enfin, quand Carlisle pensait récemment... pour le coup il devait avouer qu'elle avait déjà quelques années! Mais évidemment, personne n'avait changé depuis qu'elle avait été prise, meme Renesmée avait cessée de changer depuis un moment. Anyssa fini par lui poser la question, à savoir si c'était bien sa femme et ses enfants. On pouvait voir ça comme ça... puisque finalement, il les considérait vraiment comme ses propres enfants. Carlisle prit alors le petit cadre entre ses mains et répondit en souriant, montrant les personnes du doigt.
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